L'énergie cinétique du système vaut:
> Ec := 1/2 * m* v^2; > v := 2*Pi*sqrt(x^2+y^2)/T; > [solve( (T/2/Pi)^2 * G * (m1 + m2) = (l1 + l2)^3, T)]; > T := simplify(op(1,")); > eval(Ec);
Le potentiel gravitationnel vaut:
> V := - G*m1*m/r1 -G*m2*m/r2; > r1:=sqrt((x+l1)^2+y^2); > r2:=sqrt((x-l2)^2+y^2);
L'énergie potentielle du système vaut:
> U := - Ec + V; > pre_AN:={m1=k*l2,m2=k*l1}; > expand(subs(pre_AN,U)/G/m/k);
Les applications numériques s'obtiennent de la façon suivante:
> AN:={l2=m1,l1=m2,m1=4,m2=1,G=1}; > UN_m:=expand(subs(AN,subs(AN,U/m))); > plot3d(log(abs(UN_m)),x=-6..6,y=-6..6,grid=[20,20]); > # Representation de la norme du gradient de potentiel > grad_UN:=diff(UN_m,x)^2+diff(UN_m,y)^2; > plot3d(log(grad_UN),x=-6..6,y=-6..6,grid=[20,20]);
Figure 2: Potentiel gravitationnel du problème à trois corps simplifié
Il est acquis que l'énergie potentielle U vaut:
Les dérivées partielles valent:
L'annulation des deux dérivées partielles impose (après simplification par G):
De la seconde équation, comme , on tire . La première équation permet alors de conclure ce qui clot la démonstration.